J'ai bien été réceptionnée par les techniciens de câblage de France Telecom, adieu le 512, Freebox me voici ! Pour le moment je ne vois guère la différence puisque je n'ai pas le droit de télécharger (eh oui ma ligne est en cours de construction alors si je monte tro dans le débit aller simple vers le mur). Cette Freebox, je ne l'aimais pas. Cette affreuse chose de la taille d'un magnétoscope. Après j'ai appris à la connaître. Elle m'a promis la belle vie. Un débit presque digne des connexions belges, des chaînes câblées et le téléphone gratuit. Et puis j'ai fini par la trouver belle. Avec ses petits yeux diodesques qui clignotent quand ils ne sont pas contents. Moi je les aime verts, quand j'ai le droit de lancer internet explorer sans me faire engueuler. Et puis cette grosse tête sombre doit sans doute cacher un coeur d'or. Elle porte cette énorme bande passante, d'un seul de ses trois bras, rien que pour moi. Je l'aime, ma Freebox. En cas de manque, je songerais peut-être à la copulation.

J'avais toujours eu cette photo de chat dans mes affaires.
Je suis le genre de personnes à qui il ne faut pas confier de photos, ou ce genre de souvenirs sur lesquels on peut passer des heures. Une pile de photos renversées et cette photographie, que j'ai immédiatemment associée à ce souvenir.
Cette photo nous a fait beaucoup rire, Raphael et moi. On en rirait encore si je lui rappelais son existence.

J'avais 9 ans. Je me rendais au centre aérée, pour une fois seule. Arrivée devant la grille fermée sur une cour de récréation vide, je me suis rappelée que ce jour là était prévue une sortie à la Mer de Sable, départ fixé une heure plus tôt. Impossible de rentrer chez moi, ma mère partie faire les courses, je me retrouvais à la rue. A cette époque je n'avais pas encore mon propre trousseau de clef; à l'accoutumée je ne rentrais jamais seule. Le plus sage à faire ayant été d'attendre sagement ma mère sur le perron, je fis donc exactement le contraire.
Une fois dans l'enceinte de ce que l'on appelle communément "bac à sable", je réalisais que j'aurais bien du mal à faire quelque jeu que ce soit sans avoir l'air d'une grande courge. Je jetais donc mon dévolu sur un banc vide. Regarder les enfants jouer ne me dérangeais pas (aujourd'hui encore ce que je préfère faire c'est regarder). A peine assise, un garçon m'interpella "Hé, tu m'aides ?". C'était un temps où j'étais encore gentille.
Chemin faisant, il m'explique : il a coursé un chat qui s'était caché dans son jardin, maintenant il veut l'attraper.
Nous avons mis une bonne demi heure à attraper la bête. Mon compagnon de chasse s'est alors aperçu (à son grand dam), qu'il ne s'agissait pas d'un chat, mais bien d'une demoiselle. Il déclara alors qu'il me le donnait. Ben oui, un chat de fille.
Je l'ai gardée deux jours. Dans un panier, à la fenêtre de la salle de bains, en cachette. Par bonheur la fenêtre en question était mansardée, minuscule, et juste au dessus du toit de la cabane à outils du voisin. Elle sortait quand elle voulait, elle déambulait dans le jardin. Mon père l'a aperçue, et a conclu qu'il s'agissait du chat du voisin. Il ne croyait pas si bien penser. Le voisin, qui repeignait ses fenêtres, a vu le panier, et c'est devenu leur chat. Lorsque nous l'avons trouvée, elle avait une médaille toute rouillée accrochée au cou. "Claude", a lu le garçon du bac à sable. Elle est devenue Noisettine. J'ai trouvé ça affreux.

A 15 ans, j'ai rencontré Raphael. Vite tombée amoureuse de lui, je passais le plus clair de mon temps à ses côtés. L'inattendu (à ce stade là de l'histoire très prévisible pourtant), c'était une photo. Une photo de lui; un petit garçon brun, avec des grands yeux verts, et un maillot de foot, comme il y en avait peu à cette époque là. Le garçon au chat. Qui m'a avoué en riant que son nom était Cloud, pour les anglophones.
Evidemment, cela fait bien longtemps que nous ne sommes plus que très bons amis. On ne fait pas sa vie avec un type qui vous refile des chats.

Et voilà ! Nouvelle version en ligne. Toutes les pages sont prêtes à l'emploi, c'est tout blanc et y a quasi pa de rouge ;) Un pti peu sur le titre, pour pa que j'tombe malade, mais dans l'ensemble c'est le layout le plus joyeux que j'ai jamais fait. J'ai également utilisé le logiciel cité ci-dessous pour les camshots, ça m'évitera quelques désagréments.
D'ailleurs si qqun possède le logiciel Logitech Quickcam Express, et qu'il sait comment changer le répertoire de destination pour les photos, qu'il se manifeste par mail. Ceci est une question très sérieuse, oui j'ai cherché, non j'ai pa trouvé. Et j'ai bien l'impression que c'est impossible, alors .. celui qui me trouve la solution gagne une petite brioche offerte par moi.

Mmh .. ben, en voilà un layout qui n'aura pa duré. WireD 3.0 fait place à son pti frère 4.0. J'aime beaucoup plus celui là, plu sobre, moins sombre, et puis pour une fois c'est exactement ce que je voulais, c'qui est bien rare.
A l'heure où j'écris le layout n'est pas du tout prêt, mais je dois écrire un post correct, des fois que quelqu'un passerait, pour pouvoir deleter les maints "prout" et "test" postés auparavant pour les tests ;)
Eh oui car comme on peut le voir via l'icône qui se balade, je fais désormais appel à Blogger, qui m'aide à poster plus facilement, sans avoir à ouvrir Dreamweaver ou autre. C'que j'aime bien c'est qu'il n'y a tjs pas la possibilité de laisser des commentaires :]
Eh ouiiii